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The Fox and Frog. can Loyfir and ^pixngj Erog" detigu'd mongsft cnarm^s o powtsraul arts apeaXe, Soft teafe doe cceditr Jber except y Pox: Who vr loft LdHgater her itnpoitat^e ti jluAic/i n...
Show more The Fox and Frog. can Loyfir and ^pixngj Erog" detigu'd mongsft cnarm^s o powtsraul arts apeaXe, Soft teafe doe cceditr Jber except y Pox: Who vr loft LdHgater her itnpoitat^e ti jluAic/i no reall addon f>rot> to dwell V^aofe meagre Aipedr is o Leaae ^Ae, tp reforms rier cfwtK cLe&cb AndL"n.ob fca ilietn Experiencexct Bocbe^ are cWkrecl ^_ JTot from LoudLLoaTte But jfrom dktur. acres we 2 'cfxixtf. Structures ^trcuiaht to ruin drop Fab. IV. DeRank, Ty Attapaludibus vahdicers ^ &* novo vivmdigetters acquifito-jinfylw&y ^gloriabunda fefe tulit,& bejliarun? coronk circumjiipatay Medicine At-ttnipnblke profitcbatHr^ &> in her bis qux ad corpora cnr<mdapertinentynobi-hrentfevelGzleno, WHippocrate effe tiamttabat. Credula Befliarwfi gwsfidem facile adhibebant 5 vnlpe folummodo except & ^ qu<e fie gloriantl inidtbat) Infulfum, vagumqi animal ! Quid tarn vana blatteras ? Quid Artem nobilem prae te fers quam minime calles? livida pallidaq; ilia tua labra refpice ? Qnin Domi abi, & teipfum cura Medice ? Deindcad Bos redeas meliora forfan de te fperaturos ? Nihil rcjpondente Rana 5 fed tacitk fecum gemente fufpirii$ytoia befliarnm chachinnk refonabatfylva* Morale, ^ultitiam eornm argnit h#c FabeUa qni multupi promtttendo &* parkm prxftando dnmfpeciose certant altos antecellete^ fibimet ipfts miferrimi H Fas.
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I: IO De /' Afne mangeant its char dons. ABLE V. VN Afne charge des beaux viandes alloit en chemin>ou fortuiternent il encontra le chien defonMaiftre qui le voyant tout along man. geant d...
Show more I: IO De /' Afne mangeant its char dons. ABLE V. VN Afne charge des beaux viandes alloit en chemin>ou fortuiternent il encontra le chien defonMaiftre qui le voyant tout along man. geant des chardons, il dit a luy lourde Befte et parefTeufe ! tu manges des chardons, mais tu portes fur ton dos tels prouifions qui peuuent prouoquer Je plus delicat Appetit, et de quels Je moy mcfme fera par-ticipant. L'Afne repliqua a luy, Lescrouftes; paraduanture, etles os a toy peuuentpartenir) Mais quant a moy , ce que je mange en al< lant, eft plus agreeable a mon palate que toutes les diuerfites de Ja laniene, ou les vaines fuperfluites de le Cuifinier, ou de Paftifleur. . Le Sens Moral. "O Ar cette Fable nous apprenons, qu' vne honefte Mediocrite joynte *- a nature! appetit et a 1' aflurance de la Same eft preferable aux tons les Delicats; L'Ambition de ceux eft trop foible qui ne viuent pas que pour le orgueil, ou par le Luxe, et fongent tant feulement a faire voir leur magnificence a leurs femblables; Voila tout ce qui peut dire en faueur des perfonnes vaines, qui ne confifte qu' en certaines chofes extr em ement foibles, et fort peu confiderables. Pour ce, qui eft des deiices,dont fe vant 1' impertinent chien qui font les viandes exquifes, et delicates, les Vins excellens, etquantite d' autres douceurs qui ac-compagnent la vie des perfonnes releuees en condition, lepauure Afne a beau coup des chofes a y refpondre, principal em en t qu' il n' eft point au deflbus le chien en cela, puis qu' il ne 1' enuie pas; Car c' eft vne Maxime receiie parmy tous les gens d' Efprit, que 1" homme qui ne defire point vne chofe, n' eft pas moins heureux que celuy qui la pof-fede i De plus le chien compte fesdelices, 1' Afne allegue la puretede fesfontaines, etlegotift naturel defes bleds, par ou il femble qu'il | nousapprendquela vrayevolupteneconfifte pas dans le trop, mais dans Mediocre ; Et que ceux la font bien plus heureux qui fc,ayent en tout temps fe garantir des exces3que ces autres qui en peuuent toufiouf* faire.
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De FArondelle & des autres Oyfeaux. FABLE XVIII. AU temps que Ton commengoit a femer le linJ'Arondelle vou-lut confeiller aux autres Oyfeaux d'empefcher la femaille, difant qu'on leur avoit d...
Show more De FArondelle & des autres Oyfeaux. FABLE XVIII. AU temps que Ton commengoit a femer le linJ'Arondelle vou-lut confeiller aux autres Oyfeaux d'empefcher la femaille, difant qu'on leur avoit dreff6 des embufches 3 mais ils fe gaufle-rent d'elle, & luy dirent qu'elle eftoit une fotte Devinereffe. Depuis quand le lin fut fur le point de fortir de terre 6c de reverdri, elle les advifa derechef d'en arracher la femence 3 mais ils ne firent encore que s'en mocquer. A la fin comme elle vid gu'il commengoit a meurir, elle leur donna confeil de s'en aller piller les bleds 3 ce qu'ils ne voulurent faire, non plus que le refte. Alois l'Arondelle quittant la compagnie de tous les autres Oyieaux,rechercha celle de F Homme avec qui elle fait amitie^ d'oii vient qu'elle demeure maintenant avec luy & le rejoiiit de fon chant, au lieu que luy-mefme chafTe les autres, & fe fert du lin pour faire des rets <5c des lacets a les prendre. DISCOURS MORAL. C'Eft un grand malheur a ceux qui ne veulent point fuivre, le confeil des fages: Cela fe voit prefque tous les jours dans les concurrences humaines, ou la jeunefle meprife les enfeignemens des Viellards, & fe precipite inconfiderement en mille fortes de perils, caufez par fon increduiite. Outre le mal qui arrive de ne pas croire un bon amy cjui nous confeille fidellernent, on perd prefque tou-jours fon amitie, car fe voyant rebut6, il nous abandonne, ne pou-vant foufFrir d'eftre tenu pour fufpect en fa veritable arleclion. Ce qu'Efope a fort judicieufement remarqu^ en l'Arondelle quife retira d' avec les autres Oifeaux a caufe qu'ils avoient meprife les fages enfeignemens qu'elle leur avoit donnez. Heureux font ceux qui fervent profiter des bons confeils qu'on leur donne. FAB. XVIII'
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